Léo se rebiffe. François Léotard le dit dans un livre qu'il adresse sous ce titre à Nicolas Sarkozy : "Ça va mal finir." (parution prochaine chez Grasset et extraits au vitriol dans le "Nouvel Obs" de cette semaine). Léotard faisant la leçon à Sarkozy, c'est vous dire que l'heure est grave ! Mieux vaut Léotard que jamais, sans doute.
Manif serbe. C'est sous mes fenêtres. Les manifs, c'est toujours sous mes fenêtres, de toutes façons. Les Serbes ne digèrent toujours pas l'indépendance autoproclamée du Kosovo. J'entends dire ceci : "Imaginez, c'est un peu comme si la Corse se déclarait indépendante". Bonne idée, c'est quand vous voulez, les Corses !
La manche, quel tunnel ! Au pied de mon immeuble, cinq ou six jeunes clodos (tous moins de 25 ans) avec des chiens (rien que des chiens noirs, pourquoi ?). Ils font la manche. Ils sont en bonne santé, ils sont français, de race blanche, vigoureux. Donc sans la moindre excuse. Je leur dis : "Et vous n'avez jamais envisagé de travailler pour gagner de l'argent ?" Ils me traitent de fasciste. Ça promet, le 21ème siècle !
Ah, Léotard, quand il a fait part à Chirac de son départ de la vie politique, Jackouille s'étonnait que l'on puisse quitter si tôt la vie politique, sans doute Jackouille pensait mourir sur scène comme Jean-Baptiste Poquelin. Léotard, c'est "pars vite et reviens tard". Et mieux vaut tard que jamais si l'on en croit les bonnes feuilles de son livre.
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