"Ce qui barre la route fait faire du chemin" (Jean de La Bruyère - 'Les Caractères')

dimanche 25 novembre 2007

Le pénible Ruquier


La télé, c'est nul. Nous sommes bien d'accord.



Mais c'est archi-nul quand c'est Ruquier.



D'où sort-il, celui-la ?



Ruquier, tous les jours, à la télé, à la radio.



Jamais fatigué de lui-même.



Il ricane, il se rengorge, il plastronne.



Fier d'être inculte, imbécile heureux, goguenard, braillard, vociférant.



Omniprésent, collant comme un vieux sparadrap.



Si je zappe, par accident funeste, je tombe parfois sur lui pendant 20 secondes. Et c'est toujours une douloureuse épreuve intellectuelle.



Derrière lui, les rires gras d'un public captif et complice. Quelle horreur !



Ruquier creuse toujours dans les bas-fonds de l'ineptie revendiquée.



A son sujet, je n'ai pas dit "nuisible", même si je le pense très fort.



Je retire "nuisible".



Mais je m'autorise : "casse-couilles".



Synonyme de "pénible", en plus convenable.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Je m'insurge (je peux?) contre cet haro sur ce baudet de Ruquier. Il le mérite, certes, mais le procès, s'il devait y en avoir un, devrait concerner la plupart des chroniqueurs d'émissions TV et radio. Je ne vois pas pourquoi il te navre plus que les autres, mais peut-être devrais-je regarder la télé plus souvent pour constater qu'il creuse plus profond dans l'ineptie que ses (con)frères.

Anonyme a dit…

ouai, bof, y'a bien pire...

Anonyme a dit…

Ruquier lors de la parution de son dernier livre a fait envoyer 15 000 (quinze mille) livres au pilon parce que la photo de couverture n elui plaisait plus. L'égo ça se mesure en livres pilonnés chez Ruquier.