Quand c’est bien, il faut le dire. J’ai (nous avons tous) suffisamment de raisons de râler. Je m’incline avec respect devant celles ou ceux qui accomplissent leur tâche au mieux de leurs compétences.
Un seul exemple, cette semaine : mon ordinateur a fait une attaque nerveuse. Plus rien, il était comme mort. Avec une autre machine, je me mets à la recherche d’un SAMU informatique. J’en trouve un à quelques encablures de mon domicile.
J’y transporte le malade. Accueil rapide. Diagnostic pointu. Mon ordinateur malade est admis à la clinique. Le jeune infirmier numérique qui me reçoit est précis et compétent.
Il est aussi un peu compatissant. C’est important. Confier un ordinateur déficient à des mains étrangères, c’est comme laisser un enfant sur le seuil du bloc opératoire. Cela génère forcément un peu d’angoisse.
Le lendemain, je reçois un appel téléphonique. Le malade est guéri. Je viens le chercher. Le jeune homme qui m’avait accueilli la veille est toujours souriant, aimable et efficace. La facture est raisonnable. Tout fonctionne à nouveau de la plus belle manière.
Pas d’anarque, un service rendu en un temps record et la courtoisie en prime. Donnant-donnant, gagnant-gagnant, comme disait l’autre.
1 commentaire:
Va falloir penser en même temps à nous donner l'adresse...
Indice Pour le père de la fille Dati : Il y a un "S" dans son nom de famille...
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